Mandala

Le mandala est un dessin dont la forme centrée aide à réorganiser les confusions qui nous habitent, révélant, de ce fait, une part de notre inconscient. Il est ainsi le reflet dynamique de la personne qui le réalise dans le cadre d’un thème proposé. Il ouvre alors des perspectives jusqu’alors méconnues.

Sa pratique

S’intérioriser, être en intimité avec soi-même, se laisser guider par ses ressentis pour libérer le geste, appeler la couleur ; une forme émerge alors de ce mouvement, de l’action induite, et cette représentation traduit une part de soi. Une révélation !

Le mandala offre un champ de possibles à la recherche d’intériorité de celui ou de celle qui le met en œuvre :

1.    La visibilité agissante du mandala perdure au-delà de la séance, tant que les zones d’ombre qu’il questionne n’ont pas été élucidées. Cet accompagnement est un acte en soi, sans la présence de l’accompagnateur lui-même.

 

2.    Sans se substituer pour autant au mental, la pratique du mandala ouvre des accès à d’autres parts enfouies de soi : l’intuition, les sens subtils, le lâcher-prise. C’est un bon moyen pour rééquilibrer les personnes trop cérébrales, et il permet de dépasser certains obstacles.

 

3.    Le mandala, c’est le jeu du JE, qui, outre le besoin de comprendre, révèle l’inattendu de soi.

La pratique du mandala est aussi un outil d’investigation dans la recherche en mémoire cellulaire.

Elle participe au processus de connaissance de soi.

  Exemple de poisson créateur de Mandala  -   Emission Le Zapping sauvage sur FR2